Le grand chêne tend vers le ciel ses grands bras décharnés dans une supplique sans espoir.
Le grand chêne se meurt. Une gangue épaisse, vivante, impitoyable l’étreint et l’étouffe. Des chants d’oiseaux nombreux, joyeux s’échappent de l’épais matelas vert luisant. Le grand chêne se meurt accompagné d’un requiem continu, heureux. — Liliane Faucher |